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Perdre ma vie est un risque plus grand que celui de mourir

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Durant les années 1980, Andréa Doria partageait sa vie avec un groupe d’ami·e·s qui s’organisait contre le travail salarié et toutes les formes d’enfermement. En 1985, elle apprend qu’elle a un cancer. Opérations, rayons, chimio… En 1990, elle décide de rompre définitivement avec le monde médical.

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« Mon histoire serait, somme toute, banale : se tirer de l’hosto avant le dernier stade n’est pas spécialement original. Elle ne l’est pas : c’est une petite expérience dont j’ai fait tout un flan. J’allais être dépossédée de ma fin, j’allais donc être dépossédée de ma vie, moi qui l’avais fondée sur un refus, celui de la dépossession ! »

La présente réédition des textes qu’Andrea Doria a adressés à ses proches et à ses infirmières pour affirmer ce choix est augmentée d’un hommage de Bruno Le Dantec à son amie dont « la rupture avec l’agonie médicalisée a été une embellie pour son entourage autant que pour elle-même. »

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"La guerrière et la mort", CQFD

"La guerrière et la mort", article paru dans le CQFD numéro 147

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